Lundi matin, je me suis levée (tôt), parce que j'avais un rendez-vous. Quelque chose d'assez important, que j'attendais depuis longtemps. Malgré la chaleur, je me suis bien pomponnée : cheveux relevés, maquillage simple mais classe... Bref. Ce matin, j'avais rendez-vous avec ma fac.
Après une nuit vraiment courte, je me suis donc lancée, bien accompagnée, à la poursuite d'un RER A, de la ligne 14, et enfin d'un des nombreux bâtiments de la fac, histoire de trouver celui où mon destin allait être scellé. Après dix bonnes minutes de recherches assidues, on a fini par tomber dessus (PAF). A côté du bâtiment spécial LMDE/SMEREP (choisis ton camp), il y avait donc le hall des inscriptions. Je me suis retrouvée à faire la queue avec mon dossier, coincée entre une future L1-sciences-de-l'ingénieur et une maman qui venait faire valider le dossier pour son fils (L3-socio-politique-option-j'ai-la-flemme-de-me-lever-un-lundi-matin-de-vacances). Une dame m'a donné un sac "Paris-Diderot". Elle devait avoir peur que j'oublie que j'avais fait une heure de trajet pour y venir, et que je n'allais donc pas oublier tout de suite que j'y étais.
Le sac étant donné, j'ai pu passer à l'étape suivante : l'examen du dossier. Franchement, je redoutais beaucoup cette étape. Ceux qui ont un peu suivi mes périgrinations savent que j'ai galéré, mais eu mes équivalences à Paris-Sorbonne. Il se trouve que je devais fournir l'attestation de réussite de mon année pour pouvoir passer en master à Paris-Diderot, et que cette attestation était signée par Paris IV. Long story short, on pouvait me demander de faire un dossier de transfert, ce qui aurait vraiment compliqué mes histoires. Et comme vous êtes des pros de la conjugaison, vous avez vu que j'utilise le conditionnel (je dirais même "conditionnel passé", même si je suis moyennement sûre de moi) : ils n'en avaient heureusement rien à carrer, et j'ai pu passer par la case "inscriptions administratives" après un bout raisonnable de queue. Je suis donc ressortie avec 12 brochures et 18 papiers différents, attestants que j'étais bien à la fac, désormais. Enfin.
Mais il restait la phase "soins", bref, la bataille idéologique du bâtiment d'à côté : la validation de la mutuelle et de la sécu. On a commencé par se faire aborder par une blonde qui nous indiquait le stand, en disant "Vous n'êtes PAS obligés de prendre une mutuelle ! Ils essayent d'embrigader n'importe qui !". J'avais l'impression qu'elle nous mettait dans la confidence d'un complot franc-maçon... Je suis finalement sortie avec une bonne mutuelle, et surtout mon inscription bouclée pour l'année !
J'ai passé une bonne partie de la journée à rêver des cours et de l'année prochaine en général : les activités, Paris, le mémoire, la recherche, ... J'avoue, j'ai hâte ! =)
Le sac étant donné, j'ai pu passer à l'étape suivante : l'examen du dossier. Franchement, je redoutais beaucoup cette étape. Ceux qui ont un peu suivi mes périgrinations savent que j'ai galéré, mais eu mes équivalences à Paris-Sorbonne. Il se trouve que je devais fournir l'attestation de réussite de mon année pour pouvoir passer en master à Paris-Diderot, et que cette attestation était signée par Paris IV. Long story short, on pouvait me demander de faire un dossier de transfert, ce qui aurait vraiment compliqué mes histoires. Et comme vous êtes des pros de la conjugaison, vous avez vu que j'utilise le conditionnel (je dirais même "conditionnel passé", même si je suis moyennement sûre de moi) : ils n'en avaient heureusement rien à carrer, et j'ai pu passer par la case "inscriptions administratives" après un bout raisonnable de queue. Je suis donc ressortie avec 12 brochures et 18 papiers différents, attestants que j'étais bien à la fac, désormais. Enfin.
Mais il restait la phase "soins", bref, la bataille idéologique du bâtiment d'à côté : la validation de la mutuelle et de la sécu. On a commencé par se faire aborder par une blonde qui nous indiquait le stand, en disant "Vous n'êtes PAS obligés de prendre une mutuelle ! Ils essayent d'embrigader n'importe qui !". J'avais l'impression qu'elle nous mettait dans la confidence d'un complot franc-maçon... Je suis finalement sortie avec une bonne mutuelle, et surtout mon inscription bouclée pour l'année !
J'ai passé une bonne partie de la journée à rêver des cours et de l'année prochaine en général : les activités, Paris, le mémoire, la recherche, ... J'avoue, j'ai hâte ! =)
C'est génial! Après tout ce temps à galérer avec les équivalences, les papiers d'administration et tout le bazar, maintenant tu peux enfin te poser et profiter.
RépondreSupprimerJ'ai hâte de lire tes impressions sur les cours, la "vraie" vie étudiante parisienne, le mémoire, toussa toussa.
Merci :)
SupprimerJ'avoue que je suis soulagée : je vais pouvoir partir en vacances tranquille !
Ca se passe comment pour toi ?
Bravo! Plus qu'à profiter des vacances avant la rentrée! (Moi aussi j'ai hâte d'y être!)
RépondreSupprimerAh ! Les vacances ! Enfin.
SupprimerJe compte bien profiter de l'instant présent ! On verra plus tard pour l'envie d'être à la fac :)
Yeeeha! c'est super cool poulette! Tu vas voir, la fac c'est drôle, parfois on comprends rien, parfois on galère, mais c'est tranquille.
RépondreSupprimerC'est drôle comme ton explication (on galère) ne va pas avec la conclusion (c'est tranquille) ^^ Peut être que le master sera moins tranquille, nous verrons bien ! On sera ensemble, en tout cas ! :)
SupprimerCoucou !
RépondreSupprimerJe poste mon premier commentaire sur un de tes génialissimes blogs. J'ai dévoré celui sur la prépa (je suis une future Hk BL, ceci explique cela) et j'aime beaucoup celui là aussi !
Bref, tout ça pour te souhaiter une super continuation à la fac !
Waouh ! Ca c'est du compliment ! Et bien je suis contente que tout ça t'ai plu, bien sûr !
SupprimerBonne continuation et bonne rentrée à toi ! Je t'ajoute à mes liens.