dimanche 9 mars 2014

"Le baby sitting, c'était vraiment important dans la vie de Freud".

L'année continue, et il me manque toujours des notes du premier semestre. Je viens d'apprendre que j'ai eu 16 à mon suivi de mémoire, ce qui est à la fois encourageant, et super angoissant vu la tonne de corrections que ma directrice me demande de faire. Je prépare aussi mon dossier de séminaire. Je voulais le faire sur L'Homme qui rit, mais le prof ne veut pas de dossier qui excède huit pages, donc j'ai changé (pour ça et un peu à cause de ma saturation progressive de l'oeuvre de Victor). Je repars sur Queneau pour mon séminaire sur eros et catharsis comique, du coup, et cette décision a considérablement allégé ma semaine. 

J'en viens à un autre sujet qui me travaille : je n'ai pas vraiment d'idée de comment ça se passe après. Alors bien sûr, il y a après le master, et là ça va à peu près : agreg, capes, boulot, thèse, tout ce bordel là. Mais entre les deux, j'ai une deuxième année de master à valider, et plus important encore, un deuxième mémoire à rendre. Glups, un peu. Ce matin, je me suis donc réveillée avec l'idée de trouver au moins deux/trois pistes à soumettre à mes amis, voire à des profs, histoire d'avancer un peu. Ca peut paraître complètement abusé d'y penser déjà alors qu'on n'est qu'en mars, alors je vais revenir une seconde sur mon calendrier. En mars, je conçois/rédige mon dossier de séminaire. En avril et mai, je rédige mes deux parties de mémoire, et en juin je pars à Tours pour m'occuper des oraux du CAPES. Or, il faut qu'à mon retour, en juillet, j'ai trouvé mon nouveau directeur de mémoire, qu'il ait validé mon nouveau sujet, et que je parte direct sur ma biblio. Parce que ouais, la fac c'est tranquillou, mais bon, en M2 on doit rendre 40 pages écrites dès décembre, donc faudra se bouger. Après une bonne heure de recherches et de notes, j'ai fini par ressortir une liste, que je vais essayer d'expliciter ici.

  • La piste "vas-y reste sur le XIXe, c'est cool quand même !" : en vrac : la prostitution, les fous voyageurs, la fuite.
  • La piste "je ne veux pas être cantonnée à la littérature" : un sujet sur littérature et histoire, sans aucune autre idée. Voilà voilà. A la limite, combo des deux premières pistes sur une histoire culturelle du XIXe, mais sur quoi, auuuucune idée. 
  • La piste "hé ! Si je travaillais sur des auteurs rigolo ?" : Pratchett ou Gaiman, parce que c'est cool. La question serait alors : est-ce que je travaille avec une spécialiste d'auteurs jeunesse alors que ni l'un ni l'autre ne se restreignent à un public jeunesse, mais comme ce ne sont pas des auteurs canoniques, les ranger dans la case "jeunesse" permet de les étudier quand même, ou est-ce que je m'adresse au spécialiste du rire, qui travaille essentiellement sur Molière et Feydeau et qui va être un peu paumé si je lui propose un sujet pareil ? 
  • La piste : "La liste des bouquins géniaux que ma famille m'a mise entre les mains et qui mériteraient bien d'être analysés !" : L'Homme qui savait la langue des serpents, Une trop bruyante solitude. Sans aucune idée précise de sujet, mais ça déchirerait sa mère. Et ça me ferait bien plaisir. 

Voilà, en vérité je ne sais pas à qui adresser cette liste. Si j'en parle à ma directrice elle m'orientera forcément vers le XIXe, et je ne sais pas vraiment à qui d'autre je peux en parler. Les universitaires me détourneront sans doute des idées plus fantaisistes sur la jeunesse, et je n'ai pas vraiment assez d'idées  précises pour m'adresser à qui que ce soit concernant les auteurs familiaux ou littérature et histoire. Un coin de ma tête et paumé, quoi. Le reste pense "AAAAAAH. REDIGEEEEE !", ou se projette dans des vacances encore vraiment trop lointaines. Si jamais vous avez des avis, n'hésitez pas à m'en faire part, ça m'aiderait bien. 

Pierre et Gilles. L'eros, c'est fun

29 commentaires:

  1. Je vote pour essayer les pistes "fantaisistes" et les soumettre à un prof: s'il accepte, tant mieux, s'il refuse, à ce moment-là tu essaies de laisser cette idée de côté, ou tu proposes à quelqu'un d'autre...

    En même temps je te dis ça parce que ce que j'envisage de travailler en M2 est relativement inédit en didactique des langues, du coup je dois convaincre la responsable du master... Alors ce n'est peut-être pas la meilleure idée x)

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Du coup la question demeure : je m'adresse à qui pour les "fantaisistes" ? Ce sera quoi ton sujet ?

      Supprimer
    2. Soit tu fais la concession sur le sujet même en choisissant le référent "littérature jeunesse", qui risque de t'orienter sur des pistes qui lui correspondront plus thématiquement parlant, soit tu fais le choix de te concentrer sur le thème, c'est ça? Une co-direction est in-envisageable, dans ta fac? (Parce que ça pourrait être pas mal, si tu concilies les deux spécialistes... Ca demande de l'organisation et un peu d'imagination, mais peut-être que le spécialiste du rire pourrait être motivé par le challenge et proposer des idées sur l"intertextualité avec des textes plus canoniques, et celui de littérature jeunesse pourrait t'aiguiller sur d'autres trucs... Enfin je sais pas si tu peux techniquement faire ça, mais faut essayer!)

      Je compte travailler sur l'enseignement des langues étrangères (et donc surtout le FLE) à des apprenants en situation de trouble du langage. Il y a une spécialiste de dyslexie et d'aphasie dans ma fac, mais c'est une linguiste, donc je dois persuader ma prof (spécialiste de didactique) que le traitement de la dyslexie dans la classe de langue, c'est super, qu'on peut avoir un parler enseignant différent, que c'est faisable. Certains de mes profs sont enthousiastes et disent "super, c'est nouveau, ça pourrait vous emmener en thèse", mais eux ne peuvent rien faire, alors bon...

      Supprimer
    3. Soit je prend l'axe "jeunesse" qui permettra d'aborder une oeuvre pas vraiment littéraire parce que "oh, ça va, c'est pour les enfants" même si ce n'est pas le cas, soit j'assume le sujet en tant que littéraire, je travaille avec un spécialiste du rire, et ça risque de totalement décrédibiliser mon dossier de M2. Plus j'y pense, plus je me dis que ce n'est pas vraiment une bonne idée. Je garderai peut être l'idée pour un dossier de séminaire.

      Oui je vois, c'est compliqué ! Et tu aimerais faire une thèse ?

      Supprimer
    4. Je vois... Si tu penses que ça va te porter préjudice, c'est peut-être pas la solution idéale, effectivement. Mais bon, garde l'idée en tête et essaie quand même d'en parler à un prof, on ne sait jamais!
      Sinon, puisque tu parlais de "littérature et histoire", j'ai eu un TD qui m'a bien plu l'année dernière sur "Diables et sorciers sous l'Ancien Régime", qui colle avec ce que tu dis (par contre, c'est hors XIXème du coup). C'était vraiment intéressant, j'ai appris plein de choses sur l'histoire des mentalités, j'avais bien aimé ce genre de sujet (c'était déjà le cas en khâgne avec le programme d'histoire). Donc si ça t'intéresse de façon globale, je pense que tu vas aimer de plus en plus le sujet que tu choisiras en en apprenant dessus. Après, c'est comme tu le sens! :)

      Je sais justement pas trop ce que je veux faire après le M2. Le M1 FLE chez moi est indéterminé (ni vraiment pro ni vraiment recherche), je suis décidée à faire un M2 recherche pour mener à bien ce sujet et parce que je veux expérimenter la recherche (étant donné que j'enseigne un peu cette année et que j'ai deux mois de stage d'enseignement), mais je pense que l'après-M2 sera conditionné par l'année prochaine (la façon dont ça se passe, le fait que ça me plaise ou non par exemple). Donc on verra bien =)

      Supprimer
    5. Oui, je m'oriente de plus en plus vers un sujet sur L'Homme qui savait la langue des serpents (je te renvois à ma critique de ce livre), en littérature et histoire, croisé avec le folklore estonien. Le souci (encore !) c'est que ça veut dire faire des analyses littéraires sur la traduction d'une langue que je ne connais pas du tout... Ca peut poser problème ; il faut que je me renseigne.

      C'est pas mal comme idée un M1 indéterminé, je trouve ! Tu enseignes le FLE justement ?

      Supprimer
    6. Je me souviens de ta critique, oui (je n'ai pas lu le livre, en revanche). Ca a l'air chouette! Par contre c'est vrai que le problème du texte traduit, c'est que ça peut traduire des réalités très concrètes et précises par des mots plus globaux en français, du coup, ce serait un peu ballot dans le contexte de littérature & histoire, qui justement demande de la précision. J'imagine qu'en plus les spécialistes des Balkans ne courent pas les rues en littérature... A moins d'avoir des filières "langues romanes" en LLCE dans ta fac. Si tu trouves quelqu'un qui peut t'aiguiller sur le contexte et la culture estonienne, ça peut marcher, non? Surtout que ton master est pas vraiment "littérature française" et qu'on va pas te reprocher de travailler du non-francophone, c'est plutôt interdisciplinaire, c'est pas ça?

      Oui, ce qui est bien dans l'indétermination c'est qu'on a des cours plus pragmatiques (genre avec des études de cas didactiques), et des plus théoriques (sur l'acquisition par exemple), donc on peut bien se rendre compte de ce qu'on aime et de ce qu'on veut (même si c'est pas le cas de tout le monde). C'est plutôt sympa. Même notre mémoire est moitié rapport de stage et moitié question de recherche. Et oui, c'est modeste et pas énorme comme expérience, mais je donne 1 ou 2h de cours de FLE par semaine à une jeune turque dans une association =)

      Supprimer
    7. Oui, le texte traduit pose un problème, ceci dit une fille de mon master travaille sur les Mystères de Lisbonne sans parler portugais... Après ça peut être une tolérance parce qu'on est en master 1. Techniquement ma fac est assez branchés cultures diverses, donc ça pourrait marcher. J'ai envoyé un mail au traducteur officiel du bouquin, pour lui demander son avis ; il a aussi écrit une histoire de l'Estonie, donc je pense que je ne peux pas avoir de meilleurs conseils. J'espère qu'il répondra !

      C'est intéressant comme expérience, et ça met dans le bain !

      Supprimer
    8. Je pense que si tu as un référent pour la langue, un directeur de mémoire "littéraire" te fera confiance. Le tout est d'avoir la garantie "langue/culture" pour te soutenir: du coup c'est bien d'avoir le contact traducteur officiel! Je croise les doigts, j'espère que ça ira :)

      Oui, ça me permet de me "faire la main", aussi, parce que je dois apprendre à enseigner ma langue en ne parlant que français à quelqu'un pour qui c'est une langue étrangère (elle est pratiquement débutante). C'est vraiment cool, on s'entend bien :) J''espère que mon stage se passera tout aussi bien!

      Supprimer
    9. Je viens d'avoir un mail du traducteur, qui m'explique que ce serait compliqué : toute la littérature à propos des mythes et de l'histoire estonienne sont en estonien, donc ce sera dur à tenir... Plus qu'à trouver autre chose, quoi... Pfff. Mais il a été super cool de me répondre aussi vite et de façon aussi claire.

      C'est vraiment intéressant, je trouve ! Tu as trouvé un autre stage, alors ?

      Supprimer
    10. Ow :( Pourtant c'était bien parti... Ou alors tu te mets à l'estonien en intensif d'ici l'année prochaine xD C'est déjà bien que tu aies une réponse, mais il aurait mieux valu qu'elle soit positive. Tu vas tenter toutes les pistes de ta liste, du coup, comme les circonstances décident pour toi --' Au pire, tu as quelques jours/semaines devant toi avant les prochaines échéances que tu dois tenir, donc tu as le temps de décider de ce qui te plaît et qui est viable. Ce serait dommage de te précipiter dans une idée moyenne juste parce que tu dois faire vite, donc bon, prends le temps d'y réfléchir quand même, du coup.

      Merci pour l'intérêt, je suis contente de voir que d'autres gens que moi trouvent ça chouette aussi :) Oui, je sais plus où j'en étais de ma recherche de stage quand on en a parlé (à l'étape du stage annulé, je crois), mais du coup j'ai retrouvé un stage fin janvier, au Bénin, dans un Institut Français (en gros, c'est une institution présente dans beaucoup de pays du monde, contrôlée par la France, chargée de faire rayonner la langue et la culture française dans le monde). Donc rien à voir avec mon projet de départ, mais ça peut être aussi intéressant :)

      Supprimer
    11. Je n'ai pas à rendre mon projet tout de suite, c'est vrai, mais il y a effectivement des chances pour que je doive repasser par un sujet XIXe. On vera bien !

      C'est fou de partir dans un pays étranger, je trouve ! Je ne sais pas si je pourrais, moi. Déjà que partir tout un mois à Tours me fait douter ! Bravo !

      Supprimer
    12. A toi de trouver LE sujet XIXème et fun, alors! (Il faut se lancer des défis dans la vie... ^^)

      En même temps moi je ne sais pas si je pourrais écrire un mémoire sur Hugo, chacun son truc dans la vie! On fait des trucs très différents, donc pour l'autre ça paraît dingue, mais ça l'est pas tant que ça :) Je pense qu'on a tous des doutes, aussi, moi-même le stage ça me stresse quand même un peu (entre l'étranger, la mission, les cours à une classe, ça fait beaucoup de nouvelles choses), mais il faut essayer, et tu le fais aussi à ta façon en faisant ta mission pour les oraux du CAPES! Merci en tout cas =)

      Supprimer
  2. Une question toute con qui m'est venue à l'esprit en te lisant : pourquoi ne fais-tu pas ton mémoire sur 2 ans ?

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Tu veux dire faire mon M1 (donc mémoire 1) en deux ans ou prendre le même sujet et l'étendre sur mes deux années de master ?

      Supprimer
    2. Exactement. Les profs à en histoire sur Lyon nous laissent le choix : soit deux mémoires courts, un sur chaque année. Soit un sur les deux ans pour faire quelque chose de poussée. De plus ils conseillent plus celui sur deux ans parce que, selon eux, avec la réforme des études supérieures, le premier semestre/trimestre de M1 est très très lourd pour faire quelque chose d'abouti au second semestre.

      Supprimer
    3. Nous on a pas ce choix. C'est forcément deux mémoires distincts, un de 40p, l'autre de 100p. Faire mon M1 en deux ans n'est pas conseillé ; et perso il est hors de question que je perde encore plus de temps avant de travailler. D'où le fait qu'il faut trouver un autre sujet, et vite ! :) Qu'est-ce que tu envisages pour l'an prochain, toi ?

      Supprimer
    4. Ahhh mais tu es dans le master Enseignement ? (oui je ne comprends pas tout) Master Meef quoi ?

      L'année prochaine je fais un master de recherche en histoire contemporaine. J'ai déjà mon directeur de mémoire et un sujet +/- vague, à définir plus en détails aux fils des mois qui arrivent.

      Supprimer
    5. Non non, je suis en recherche ! J'ai juste pas envie de faire 4 ans pour valider 2 ans de master ^^ Et comme je roule pas sur l'or, retarder mon diplome, c'est retarder mon travail.

      Super ! Quel est ton sujet, du coup ? Même si c'est vague ?

      Supprimer
    6. Ah, du coup tu prépares le CAPES en même temps (j'essaie de comprendre, difficilement). Ca doit être chaud patate pour préparer les deux en même temps, non ?

      Mon sujet de mémoire, pour l'idée que j'en ai, serait sur les organisations associatives catholiques et protestantes dans l'évêché de Valence, de quelques années avant la guerre à quelques années après, en ciblant quelques groupes sociaux distincts dont la jeunesse, obligatoirement. J'ai toujours voulu travailler soit sur les enfants soit sur la religion, mon prof me donne l'occasion de combiner les deux. Le problème est que pour cela il faut que les archives de l'évêché soient ouvertes aux visiteurs.

      Supprimer
    7. Non, je passerai CAPES et Agreg' après mon master recherche.

      Je trouve ça super intéressant, comme sujet ! Et tu comptes le faire sur un ou deux ans, du coup ? Si tu te présente comme étudiant et que tu expliques bien ton projet, on doit pouvoir te laisser consulter les archives, j'imagine !

      Supprimer
    8. Ah d'accord. Fiou. Ca va t'en faire des concours après le master mais pas impossible, je pense.
      Je vais le faire sur deux ans. Un M1 d'histoire contemporaine. Et demander le M2 Sciences du religieux et de la laïcité. Mon prof enseigne dans les deux donc je peux conserver le même prof sur les deux ans. Il m'a dit que c'est, je cite, "plus stimulant de bâtir un mémoire sur deux ans, on peut dire beaucoup plus de trucs, enfin vous voyez quoi !".

      Je mettrai au clair cela dans quelques jours par un article.

      Supprimer
    9. Beaucoup de gens le font, vu que le Meef ne prépare qu'au CAPES. Mais c'est vrai que mes objectifs sont ambitieux : j'aimerais passer l'Agreg de lettres (1 ou 2 ans avec de la chance) et le CAPES Histoire Géo...

      D'accord, j'attends ton article alors ! Mais je suis d'accord sur l'idée : déjà travailler sur un sujet pendant un an, c'est crevant et lassant, mais alors sur deux... Moi je suis contente de savoir que je peux passer à autre chose dans quelques mois !

      Supprimer
    10. Woaw, Agreg ET CAPES dans une autre matière! Pas mal! Bon courage!

      Supprimer
  3. Oui, je n'ai pas envie d'etre limitée à la littérature alors que j'aime autant l'histoire. Et si vraiment je dois enseigner au collège, je préfère mille fois faire de l'histoire-géo que des dictées et de la conjugaison.

    RépondreSupprimer
  4. Mais es-tu sûre que tu ne devras pas faire le choix entre les lettres et l'histoire-géo au moment de prendre un poste, et ainsi être obligée de renoncer à l'une de tes réussite aux concours...

    Le système éducatif est un peu tordu. Je m'étais renseignée l'année dernière, et l'on m'avait dit qu'en repassant un CAPES, on perdait le bénéfice d'enseigner dans la matière précédente (http://www.education.gouv.fr/espace-recrutement/question/le-fait-detre-admis-a-plusieurs-capes-pourrait-il-permettre-une-titularisation-dans-les-2-matieres/ -> c'est la 2e partie de la réponse qui pourrait t'intéresser).

    Après, il y a toujours le mythe du prof de prépa triple agrégé... Mais peut-on encore considérer les profs de prépa comme des pions de l’Éducation nationale ? =P

    Et sinon, je te souhaite bon courage pour la fin de ton M1 et pour ta nouvelle recherche de sujet de mémoire. =)

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Si, il faudra que je choisisse, en effet, mais ça me donnera la possibilité de changer de filière si je le veux, et d'avoir un diplôme dans les deux matières, donc d'être reconnue aussi pour mes connaissances en histoire géo. Merci pour le lien, je jetterai un oeil plus précis là-dessus.

      Je ne sais pas si je pourrais être prof de prépa sans avoir eu normale... En plus, il faudrait que les prépas existent toujours ^^

      Merci !

      Supprimer
    2. Petite précision, si je peux me permettre: de ce que j'en sais, prof de prépa, ce n'est pas qu'une question de diplôme, ça va au-delà, au niveau des points, de l'ancienneté et de tout un tas de trucs (postes disponibles dans ta matière et tutti quanti): ma prof de français tronc commun en HK (et option lettres en KH) n'a pas fait de prépa elle-même, elle a un parcours 100% fac, donc elle n'a pas eu l'ENS, et plusieurs de mes profs ont été dans ce cas de figure ("seulement" agrégés) (mon prof de français TC en KH était même agrégé de lettres classiques, sans diplôme en lettres modernes...)! =)

      Supprimer
    3. Ah d'accord, je ne savais pas ! La précision est intéressante ; je me renseignerai !

      Supprimer