Bon, puisque j'écris en direct de mon cours, c'est bien que je m'ennuie profondément. Enfin au moins un peu, mais là c'est plutôt profondément. C'est un des cours dont j'ai parlé, à vocation de combler les lacunes, et qui est bien bien bien relou. Très large, très bateau, pour qu'on comprenne la topique relative à l'exploitation de l'objet en littérature. Bon, soit. Franchement j'ai du mal à imaginer ce que ça peut donner en partiel... Quel genre de questions on pose avec des connaissances aussi vagues et des concepts si flous ? L'étymologie ? Trouver un exemple de description d'objet en littérature/art (oui, parce que c'est aussi un cours d'esthétique, ce qui concourt à expliquer pourquoi on se perd autant dans des considérations diverses et très très très variées) ?
Je reprends cet article deux jours plus tard, et plus du tout en direct de l'amphi 7C. Là, maintenant, je suis plutôt en direct de mon assiette de pommes de terre (du coup, j'ai un appart' qui pue la patate. Si vous saviez ce que j'ai ri en écrivant ça !). Les plus malins d'entre vous verrons que je poste à 18h, et que je ne devrais PAS être en train de bouffer. Ce qui m'amène à l'obsession du moment dans ma vie : j'ai FAIM. J'ai l'impression de passer ma vie à le penser, le dire et m'en plaindre. Je ne pense qu'à bouffer (et un peu à mon taff. Ah et il y a mon copain aussi, mais des fois ça va ensemble), et par conséquent, je mange beaucoup. Et pas que des légumes, bien évidemment, sinon c'est pas drôle. Ce problème s'accompagne donc de son corollaire : "AAAAAH-j'ai-pris-deux-kilos-depuis-juin-je-suis-énorme-je-vais-mourir-obèse". Evidemment, j'ai des amis et un copain qui passent (beaucoup) de temps (pardonpardon) à me dire que je ne suis pas grosse, que 2kg c'est rien et que je suis bonnasse comme ça. Maiiiiiiiiiiiiiiis. Je reste complètement une obsédée de mon poids, par mon apparence, et tout le reste de l'attirail de l'adolescente complexée.
Le seul contre argument que je peux opposer à ma culpabilité d'engloutir un chocolat viennois (1/4 de chocolat, 3/4 de chantilly, j'en rêve depuis), c'est "si ton corps demande, c'est qu'il en a besoin, alors arrête de faire l'idiote et va chercher un kebab" (c'est bon, je suis bien passée pour une goulue, là ?). C'est vrai que j'enchaîne sérieusement les journées chargées (cours-3h à la BU-recherches-sport), mais bon, ça n'excuse rien. Le premier qui me donne des conseils style ne pas manger devant un livre/ordi, ou encore de poser ma fourchette entre chaque bouchée peut avaler sa langue direct, tellement j'ai soupé de ce genre de bêtises. Si ça suffisait, on ne s'amuserait pas à faire 5h de sport par semaine, ou a manger des salades à longueur d'hivers. Je suis en pleine recherche d'équilibre, et pour l'instant je ne le trouve pas.
En parlant de recherche (transition de dingue), la partie de la journée qui n'est pas consacrée à manger l'est à travailler, et notamment sur mon mémoire (la folie chez Victor Hugo pour ceux qui dorment au fond) et mon mini-mémoire (l'écriture de l'idiotie dans Le Journal Intime de Sally Mara de Queneau). J'en profite aussi pour faire une disserte d'hk et pour lire un peu. 'Fin je vais pas revenir sur le fait que je suis toujours sur 30 000 choses à la fois, je pense que tout le monde a compris.
Voilà !
Je reprends cet article deux jours plus tard, et plus du tout en direct de l'amphi 7C. Là, maintenant, je suis plutôt en direct de mon assiette de pommes de terre (du coup, j'ai un appart' qui pue la patate. Si vous saviez ce que j'ai ri en écrivant ça !). Les plus malins d'entre vous verrons que je poste à 18h, et que je ne devrais PAS être en train de bouffer. Ce qui m'amène à l'obsession du moment dans ma vie : j'ai FAIM. J'ai l'impression de passer ma vie à le penser, le dire et m'en plaindre. Je ne pense qu'à bouffer (et un peu à mon taff. Ah et il y a mon copain aussi, mais des fois ça va ensemble), et par conséquent, je mange beaucoup. Et pas que des légumes, bien évidemment, sinon c'est pas drôle. Ce problème s'accompagne donc de son corollaire : "AAAAAH-j'ai-pris-deux-kilos-depuis-juin-je-suis-énorme-je-vais-mourir-obèse". Evidemment, j'ai des amis et un copain qui passent (beaucoup) de temps (pardonpardon) à me dire que je ne suis pas grosse, que 2kg c'est rien et que je suis bonnasse comme ça. Maiiiiiiiiiiiiiiis. Je reste complètement une obsédée de mon poids, par mon apparence, et tout le reste de l'attirail de l'adolescente complexée.
Le seul contre argument que je peux opposer à ma culpabilité d'engloutir un chocolat viennois (1/4 de chocolat, 3/4 de chantilly, j'en rêve depuis), c'est "si ton corps demande, c'est qu'il en a besoin, alors arrête de faire l'idiote et va chercher un kebab" (c'est bon, je suis bien passée pour une goulue, là ?). C'est vrai que j'enchaîne sérieusement les journées chargées (cours-3h à la BU-recherches-sport), mais bon, ça n'excuse rien. Le premier qui me donne des conseils style ne pas manger devant un livre/ordi, ou encore de poser ma fourchette entre chaque bouchée peut avaler sa langue direct, tellement j'ai soupé de ce genre de bêtises. Si ça suffisait, on ne s'amuserait pas à faire 5h de sport par semaine, ou a manger des salades à longueur d'hivers. Je suis en pleine recherche d'équilibre, et pour l'instant je ne le trouve pas.
En parlant de recherche (transition de dingue), la partie de la journée qui n'est pas consacrée à manger l'est à travailler, et notamment sur mon mémoire (la folie chez Victor Hugo pour ceux qui dorment au fond) et mon mini-mémoire (l'écriture de l'idiotie dans Le Journal Intime de Sally Mara de Queneau). J'en profite aussi pour faire une disserte d'hk et pour lire un peu. 'Fin je vais pas revenir sur le fait que je suis toujours sur 30 000 choses à la fois, je pense que tout le monde a compris.
Voilà !
I love you <3
RépondreSupprimerEuh whut ? Y a moyen d'avoir un poil de développement, toussa ? Parce que moi aussi je t'aime (sinon je ne partagerais pas mon repas de Thanksgiving avec toi), mais... Pourquoi ? C'est parce que je parle de bouffe ??
RépondreSupprimerCa avance ce mémoire? :)
RépondreSupprimerEn fait la première pulsion qui me pousse à laisser un commentaire est que j'étais justement en train de manger un fondant au chocolat en lisant ton post...Et bien sûr impossible de m'arrêter avant d'avoir terminé la totalité du plat...Alors qu'il n'est même pas 9h du matin.
Voilà voilà.
Empathie totale :)
Pour le mémoire, ça avance tout doux : je suis en train de mettre au point ma bibliographie.
SupprimerAww, fondant au chocolat ! <3 Merci pour l'empathie et vive la nourriture !