Comme toutes les semaines, je suis dans ma famille pour suivre des cours dans mon ancienne (ça fait bizarre, je l'avoue) prépa. Programme serré en perspective, puisqu'il faut absolument :
- suivre le cours de 3h de littérature ;
- aller passer 1000 ans chez le médecin pour avoir un certificat médical
- courir pour arriver à ma fac avant 16h, heure où le service sport n'accepte plus d'étudiants histoire de ne pas leur fermer la porte au nez à 17h
- attendre 12 ans
- s'inscrire en sport (en priant très fort pour qu'il reste ce que je veux)
- aller en cours de 18h à 20, pour inaugurer l'année
- rentrer/manger/retaper le cours du matin
- s'écrouler, fourbue, et passer au mardi.
La première partie de la journée ne s'est pas trop mal déroulée : le cours était chouette ; il m'a donné envie de faire le commentaire que j'ai à faire pour lundi prochain (oui, en grosse maso, j'ai demandé à mon prof d'Hk d'accepter que je rende les devoirs, histoire de ne pas perdre mon niveau d'ici l'Agreg'. Patapé...). Sur ce, en ayant même réussi à boulotter un truc, je suis allée (en avance) chez le médecin, et malgré une attente trèèèèèèèèès longue, j'en suis sortie à 15h pile. J'ai couru, j'ai eu mon train ric-rac, et je suis partie en périple dans les transports de la fac.
C'était long, chiant et suant, mais il va falloir que je m'y fasse. J'me suis faite écrabouiller par des vieux (ils sont très sournois à Paris), mais je suis finalement arrivée devant le secrétariat des sport juuuuuste au moment où ils mettaient la pancarte "fermé" sur la porte. Franchement, à ce moment-là, j'aurais voulu une médaille, des applaudissements, des cookies et m'étaler dans le couloir pour y dormir du sommeil du juste. Mais finalement, il fallait faire la queue. Je vais faire une ellipse, parce que cette partie de l'aprem n'a vraiment pas été palpitante. Croyez-moi ou pas, attendre dans un couloir n'a rien de folichon (si si, croyez-moi !). J'ai eu du bol : malgré mon retard dans les inscriptions, il restait des places dans les sports que je voulais (on va voir s'il y a des curieux).
C'est alors que je m'apprêtais à découvrir la BU et le bout de campus que je n'ai pas encore pu explorer que j'ai vu le mail du secrétariat de la fac : pas de cours de méthodo le lundi avant le 23 octobre. La BLAGUE. M'enfin j'étais pas plus fâchée que ça de rentrer chez moi. Pas de BU pour moi ce coup-ci, donc. Je suis présentement en train de retaper le cours de ce matin avec un bol de pâtes sous le coude (enfin sous la fourchette). Vivement demain !
Mardi
Grâce à un mail qui faisait penser à une invitation à de la contrebande ("Retrouvez-moi demain près du distributeur de boissons de l'UFR"), j'ai appris que j'avais rendez-vous avec ma directrice de mémoire. Je me suis toute pomponnée, parce que je devais passer de l'université à l'Opéra Garnier (et oui, rien que ça) : j'ai donc passé la journée en talons, jolie robe, et bien maquillée. Et avec la goutte au nez, grâce à un rhume qui a décidé d'investir mes sinus pile cet après-midi, et qui n'a pas l'air de vouloir fuir à tire d'ailes (snirfl)... Enfin bref, je vous laisse imaginer combien j'ai pu être sexy en arrivant à mon premier cours.
Ce premier cours, justement, parlons-en : "Figures de l'idiot, écriture de la bêtise", ou un de ceux qui me tentait le plus, d'autant qu'il est enseigné par Nathalie Piégay-Gros, que j'ai découvert à travers la collection des GF corpus lettres (Roman si je ne m'abuse). Le cours en soi ne cassait pas trois pattes à un canard, mais je me raccroche à l'idée que c'est un cours d'intro, et que ça va aller mieux. En fait, elle a vaguement posé les bases et les problématiques qui entourent l'idiotie et la bêtise. On a appris qu'on aurait au choix un exposé ou un mini-mémoire à rendre, et que c'était à nous de définir le sujet (depuis je passe en revue toutes les figures d'idiot que je connais pour essayer de trouver quelque chose de pertinent). Le fonctionnement du séminaire peut être déstabilisant avec toute la liberté et le travail de fond qu'il suppose, mais j'espère m'en sortir.
J'ai oublié de dire que, du coup, j'ai revu ma directrice. Ca a commencé par un très franc : "Alors, tu en es où ?" auquel je me suis bien retenue, comme une fille sage, de répondre "Nulle part", mais bien "En ce moment j'essaye de définir l'objet-folie, de me bâtir une idée du fou pour trouver un angle d'attaque". Je me suis bien ridiculisée en disant que je relisais "Le Bossu de Notre-Dame" (u_u. Et en plus c'est même pas vrai), et elle m'a finalement indiqué comment ça allait se passer : il faut que j'ai une bibliographie d'ici la Toussaint, et de novembre à Noël, on verra les pistes ensemble pour former une problématique. La bibliographie me terrifie particulièrement : tout est encore très flou dans mon esprit.
Après ces cours, j'ai dû courir : l'Opéra n'attend pas. J'ai eu tous les coups de malchance possible : trafic (ok, ça c'était prévisible entre 18h et 19h30), bus qui me voit arriver en courant et faisant des grands signes pour qu'il m'attende 30 sec de plus et qui s'amuse plutôt à en attendre 15... Puis à se casser et à filer devant mes yeux embués. Connard. Et le suivant qui s'arrête pendant 10 minutes au milieu du trajet, sans prévenir ni expliquer ; tout ça s'est terminé par une course effrennée dans la rue de l'Opéra (en talons et robe, je vous le rappelle), pour arriver UNE minute avant la fermeture des portes. Pfiou. Bon, déjà je vous laisse imaginer ma figure toute bien maquillée au départ, après mon sprint, et ensuite, à cause de cette belle épopée, j'ai dû me retenir de tousser et respirer bruyamment pendant tout le premier acte. Heureusement, ça a fini par se calmer... Juste à temps pour que le rhume prenne le relais et que j'aie besoin de me moucher pendant les deux actes suivants. Résultat des courses : les applaudissements m'ont sauvée la vie (enfin le nez), et j'adore Chopin.
Ah ! J'ai failli oublier : quand je suis allée à la fac, il s'est passé quelque chose d'extraordinaire, quelque chose que je n'attendais plus. "Mademoiselle ? Vous avez postulé pour donner des cours au sein de notre groupe : votre profil nous intéresse, pourrions-nous nous rencontrer demain ?". Je n'ai pas hurlé "OUI ! OUI ! OUI !", j'ai été très pro (j'ai regardé dans mon agenda, et tout), et on a pris rendez-vous. Priez pour moi très fort (je ne vois pas d'autre recours) : c'est du 20€ net de l'heure, et j'en ai vraiment besoin. Du coup, demain, je me trimballe encore à la fac habillée bizarrement, en habit d'entretien. Yay !
Grâce à un mail qui faisait penser à une invitation à de la contrebande ("Retrouvez-moi demain près du distributeur de boissons de l'UFR"), j'ai appris que j'avais rendez-vous avec ma directrice de mémoire. Je me suis toute pomponnée, parce que je devais passer de l'université à l'Opéra Garnier (et oui, rien que ça) : j'ai donc passé la journée en talons, jolie robe, et bien maquillée. Et avec la goutte au nez, grâce à un rhume qui a décidé d'investir mes sinus pile cet après-midi, et qui n'a pas l'air de vouloir fuir à tire d'ailes (snirfl)... Enfin bref, je vous laisse imaginer combien j'ai pu être sexy en arrivant à mon premier cours.
Ce premier cours, justement, parlons-en : "Figures de l'idiot, écriture de la bêtise", ou un de ceux qui me tentait le plus, d'autant qu'il est enseigné par Nathalie Piégay-Gros, que j'ai découvert à travers la collection des GF corpus lettres (Roman si je ne m'abuse). Le cours en soi ne cassait pas trois pattes à un canard, mais je me raccroche à l'idée que c'est un cours d'intro, et que ça va aller mieux. En fait, elle a vaguement posé les bases et les problématiques qui entourent l'idiotie et la bêtise. On a appris qu'on aurait au choix un exposé ou un mini-mémoire à rendre, et que c'était à nous de définir le sujet (depuis je passe en revue toutes les figures d'idiot que je connais pour essayer de trouver quelque chose de pertinent). Le fonctionnement du séminaire peut être déstabilisant avec toute la liberté et le travail de fond qu'il suppose, mais j'espère m'en sortir.
J'ai oublié de dire que, du coup, j'ai revu ma directrice. Ca a commencé par un très franc : "Alors, tu en es où ?" auquel je me suis bien retenue, comme une fille sage, de répondre "Nulle part", mais bien "En ce moment j'essaye de définir l'objet-folie, de me bâtir une idée du fou pour trouver un angle d'attaque". Je me suis bien ridiculisée en disant que je relisais "Le Bossu de Notre-Dame" (u_u. Et en plus c'est même pas vrai), et elle m'a finalement indiqué comment ça allait se passer : il faut que j'ai une bibliographie d'ici la Toussaint, et de novembre à Noël, on verra les pistes ensemble pour former une problématique. La bibliographie me terrifie particulièrement : tout est encore très flou dans mon esprit.
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Mon mémoire ? La folie dans les dessins animés. Ci-dessus la plus fidèle adaptation du monde ! |
Après ces cours, j'ai dû courir : l'Opéra n'attend pas. J'ai eu tous les coups de malchance possible : trafic (ok, ça c'était prévisible entre 18h et 19h30), bus qui me voit arriver en courant et faisant des grands signes pour qu'il m'attende 30 sec de plus et qui s'amuse plutôt à en attendre 15... Puis à se casser et à filer devant mes yeux embués. Connard. Et le suivant qui s'arrête pendant 10 minutes au milieu du trajet, sans prévenir ni expliquer ; tout ça s'est terminé par une course effrennée dans la rue de l'Opéra (en talons et robe, je vous le rappelle), pour arriver UNE minute avant la fermeture des portes. Pfiou. Bon, déjà je vous laisse imaginer ma figure toute bien maquillée au départ, après mon sprint, et ensuite, à cause de cette belle épopée, j'ai dû me retenir de tousser et respirer bruyamment pendant tout le premier acte. Heureusement, ça a fini par se calmer... Juste à temps pour que le rhume prenne le relais et que j'aie besoin de me moucher pendant les deux actes suivants. Résultat des courses : les applaudissements m'ont sauvée la vie (enfin le nez), et j'adore Chopin.
Ah ! J'ai failli oublier : quand je suis allée à la fac, il s'est passé quelque chose d'extraordinaire, quelque chose que je n'attendais plus. "Mademoiselle ? Vous avez postulé pour donner des cours au sein de notre groupe : votre profil nous intéresse, pourrions-nous nous rencontrer demain ?". Je n'ai pas hurlé "OUI ! OUI ! OUI !", j'ai été très pro (j'ai regardé dans mon agenda, et tout), et on a pris rendez-vous. Priez pour moi très fort (je ne vois pas d'autre recours) : c'est du 20€ net de l'heure, et j'en ai vraiment besoin. Du coup, demain, je me trimballe encore à la fac habillée bizarrement, en habit d'entretien. Yay !
Mercredi
A cause du sus-présenté rhume, j'ai extrêmement mal dormi, donc j'étais pas dans un état hyper glorieux lorsqu'il a fallu se présenter au cours de midi, à savoir la fameuse conférence d'interventions de professionnels ("Promis les enfants, en littéraire il n'y a pas que prof ou chômeur : Janine ici présente est par exemple esclave dans une maison d'édition."). Je me suis installée avec ma pote de prépa (en belle associale, je n'ai pas encore fait de rencontres au sein de mes séminaires... Fort, hein ?), et on a attendu. 15 minutes. 30. A 35-40, les gens ont commencé à déserter l'amphi. A 45, on les a suivi. On s'est baladées dans le campus, j'ai découvert la B.U, on est allées vérifier que rien n'annonçait l'annulation du cours sur les panneaux de l'UFR lettres (et non, rien du tout...) et puis finalement je suis partie à l'entretien d'embauche.
La bonne surprise, c'est que c'était vraiment pas loin de la fac. La deuxième bonne surprise, c'est que la nana de l'entretien était charmante. La troisième bonne surprise, c'est qu'apparemment dans sa tête, j'étais déjà prise : elle m'a vaguement parlé anglais pour vérifier mon niveau, mais sinon c'était dans la poche. Et du coup il n'y a pas de mauvaise nouvelle : je suis prise comme professeur de soutien au sein de l'agence, je n'ai plus qu'à attendre des coups de fils de particuliers... Oh, et dernière bonne surprise : "Ici, tous les enseignants ne sont pas certifiés ou agrégés : plus qu'un diplôme, nous cherchons des personnalités, des gens qui ont une passion pour ce qu'ils veulent enseigner. Je pense que vous l'avez".
Retour enjoué (et enrhumé) à la fac, attente de 2h autour d'un thé, et enfin, le second premier amphi de ma semaine (et de ma vie), sur l'objet. C'était sympa. Pas palpitant, pas incroyable, pas hypra novateur, mais relativement intéressant. Le partiel, en janvier, consistera en deux questions à traiter en 3h. Je devrais être choquée, mais on m'a trop prévenue, je crois. Fin de la journée, je ne vais pas tarder à filer au lit tellement je suis H.S (mais satisfaite), probablement avec un bon grog.
Jeudi
A plein de points de vue, cette journée a été une jolie découverte. Oui, je tue tout le suspense direct. Reprenons : je me suis donc couchée tôt, j'ai bien récupéré, et ce matin j'allais vraiment mieux (je reste une fière adepte de la formule grog+dodo). J'ai pu aller au cours sur l'écrivain dans la cité en pleine forme. Le cours était intéressant, Jean Vigne est un chouette professeur, même si je suis complètement larguée niveau Renaissance (future dix-neuvièmiste bonjouuuur). J'ai enchaîné avec une demie-heure de pause, temps nécessaire pour trouver la salle où était mon cours d'anglais, et avaler un demi-sandwich. J'ai mis 23 minutes à trouver la salle, du coup le sandwich est passé à la trappe. Le cours de version littéraire était très mou, assez peu intéressant, mais plein de surprises : pour la première fois à la fac, j'ai entendu le mot "DST", et apparemment le prof s'oblige à connaître nos prénoms. Et puis l'avantage de la version, c'est qu'on ne dort pas ; c'est dynamique ! Au moins je ne perdrai pas mon niveau.
Et en fait, mon emploi du temps administratif s'arrête là. J'étais en week end. Bon, sauf que j'avais prévu de bosser au moins 1h à la B.U sur un devoir d'Hk (que je doute de plus en plus de rendre), et finalement, j'ai eu la flemme. Je suis rentrée chez moi, j'ai trouvé des pistes, j'ai cherché des articles à ficher pour établir ma biblio de mémoire, et j'ai regardé Downton Abbey (on ne se refait pas).
Il a été l'heure pour moi d'aller à mon premier cours de sport : 1h30 de danse rock. Quand la musique s'est déclenchée, un morceau d'ACDC, je me suis dit que j'allais adorer ce cours. Et ça a été le cas : je n'ai pas vu le temps passer, je me suis éclatée, et j'ai bien bougé. Un véritable plaisir !
J'oubliais l'aspect relationnel de ma journée : à chaque cours/activité, j'ai sympathisé avec des gens. Alors oui, comme ça ça fait très "Max et Lili dans leur nouvelle école", mais ça me travaillais un peu de n'avoir lié avec personne d'autre que des gens que j'avais déjà au moins aperçu. Bilan : une espagnole bien chouette au cours sur l'écrivain, un garçon en FLE au cours de version, et pleinplein de gens à la danse, donc une fille qui prend le même bus que moi. Oh, et il me faut absolument un nouveau jogging ; le sport en legging, je vais oublier ^^.
Vendredi
Journée tranquille, jusqu'au cours de sport (à prononcer avec moulte tremblements). On a commencé par un échauffement : 20 min de vélo. Pour moi, qui ai abandonné le sport à la fin de l'hypokhâgne, à part un kilomètre de nage occasionnel et deux trois abdos, c'était dur. Ensuite on a fait des circuits sur machines, avec des exercices principalement axés sur le haut du corps, donc j'étais pas hyper jouasse. On a fini par 15 min d'abdo/fessier/gainage hypeeeeeeeer ambitieux (genre tenir une minute et demie, ou faire des séries de 50 mouvements). Bref, tout ça pour dire que c'était plutôt éprouvant, même si la prof est super. J'ai rencontré le cliché de la fille chinoise qui a été entraînée depuis ses 5 ans, qui s'entraîne avec des poids de 4 kg et qui essaye de regagner son niveau et son honneur après s'être blessée au genou.
A plein de points de vue, cette journée a été une jolie découverte. Oui, je tue tout le suspense direct. Reprenons : je me suis donc couchée tôt, j'ai bien récupéré, et ce matin j'allais vraiment mieux (je reste une fière adepte de la formule grog+dodo). J'ai pu aller au cours sur l'écrivain dans la cité en pleine forme. Le cours était intéressant, Jean Vigne est un chouette professeur, même si je suis complètement larguée niveau Renaissance (future dix-neuvièmiste bonjouuuur). J'ai enchaîné avec une demie-heure de pause, temps nécessaire pour trouver la salle où était mon cours d'anglais, et avaler un demi-sandwich. J'ai mis 23 minutes à trouver la salle, du coup le sandwich est passé à la trappe. Le cours de version littéraire était très mou, assez peu intéressant, mais plein de surprises : pour la première fois à la fac, j'ai entendu le mot "DST", et apparemment le prof s'oblige à connaître nos prénoms. Et puis l'avantage de la version, c'est qu'on ne dort pas ; c'est dynamique ! Au moins je ne perdrai pas mon niveau.
Et en fait, mon emploi du temps administratif s'arrête là. J'étais en week end. Bon, sauf que j'avais prévu de bosser au moins 1h à la B.U sur un devoir d'Hk (que je doute de plus en plus de rendre), et finalement, j'ai eu la flemme. Je suis rentrée chez moi, j'ai trouvé des pistes, j'ai cherché des articles à ficher pour établir ma biblio de mémoire, et j'ai regardé Downton Abbey (on ne se refait pas).
Il a été l'heure pour moi d'aller à mon premier cours de sport : 1h30 de danse rock. Quand la musique s'est déclenchée, un morceau d'ACDC, je me suis dit que j'allais adorer ce cours. Et ça a été le cas : je n'ai pas vu le temps passer, je me suis éclatée, et j'ai bien bougé. Un véritable plaisir !
J'oubliais l'aspect relationnel de ma journée : à chaque cours/activité, j'ai sympathisé avec des gens. Alors oui, comme ça ça fait très "Max et Lili dans leur nouvelle école", mais ça me travaillais un peu de n'avoir lié avec personne d'autre que des gens que j'avais déjà au moins aperçu. Bilan : une espagnole bien chouette au cours sur l'écrivain, un garçon en FLE au cours de version, et pleinplein de gens à la danse, donc une fille qui prend le même bus que moi. Oh, et il me faut absolument un nouveau jogging ; le sport en legging, je vais oublier ^^.
Vendredi
Journée tranquille, jusqu'au cours de sport (à prononcer avec moulte tremblements). On a commencé par un échauffement : 20 min de vélo. Pour moi, qui ai abandonné le sport à la fin de l'hypokhâgne, à part un kilomètre de nage occasionnel et deux trois abdos, c'était dur. Ensuite on a fait des circuits sur machines, avec des exercices principalement axés sur le haut du corps, donc j'étais pas hyper jouasse. On a fini par 15 min d'abdo/fessier/gainage hypeeeeeeeer ambitieux (genre tenir une minute et demie, ou faire des séries de 50 mouvements). Bref, tout ça pour dire que c'était plutôt éprouvant, même si la prof est super. J'ai rencontré le cliché de la fille chinoise qui a été entraînée depuis ses 5 ans, qui s'entraîne avec des poids de 4 kg et qui essaye de regagner son niveau et son honneur après s'être blessée au genou.
Légende :
- bleu foncé : obligatoire, mais un peu chiant.
- bleu clair : cours.
- vert : séminaire.
- violet : loisirs.
Ca fait bizarre de lire un post de toi intitulé "...Université", et parlant de files d'attentes, de BU et de cours supprimés ^^
RépondreSupprimerD'habitude, c'est plutôt moi qui les fait ces posts là :p
Enfin, tu vas voir, on s'habitue vite. Et les vieux dans le train, tu finis par les pousser, sans remord! Enfin, parfois.
Bon courage pour ta semaine Sunshine!
Moi aussi ça me fait bizarre ^^ Loin de moi l'idée de te piquer ta place, hein !
SupprimerBonne (dernière) semaine de vacances, sweetie !
Malgré les embrouilles administratives (perso, mon combat, c'est d'avoir mon diplôme de licence en ce moment), ton cours a l'air de te plaire: j'espère que les suivants seront aussi bien!
RépondreSupprimerJe vais poster un article sur ma première semaine aussi, mais à chaque cours j'ai du boulot à faire, et du coup j'ai pas eu le temps de faire quelque chose d'un peu construit.
Sinon oui je suis curieuse: c'est quoi ce fameux sport? xD
J'attends tes articles sur le master recherche avec impatience parce qu'il n'est pas impossible que je fasse ma deuxième année en recherche aussi. En tout cas vivement la suite de tes aventures ^^
Bon courage (pour les cours et le travail et tout et tout) et à bientôt! :)
Ils te font des misères pour le diplôme ? Comment ça se fait ? Oui, l'endroit me plait assez, même si les cours ne sont pas palpitant pour l'instant...
SupprimerJe ne crois pas avoir ton blog ; donne-moi l'adresse que je te mette dans mes liens !
Je me suis inscrite en danse (valse/rock) et en musculation (Rambo, c'est mon kiff). Je commence demain ( = jeudi) !
J'y penserai pour le master recherche, c'est vrai que j'ai déjà pas mal de choses à dire dessus.
Courage aussi !
Ahahah. Je vois que tu vis toujours aussi dangereusement qu'avant. En tout cas, même si ta vie semble agitée, je sens de l'engouement dans ton écriture, cela fait plaisir à voir.
RépondreSupprimerJ'espère que tu continueras sur cette lancée et bon courage pour le sport ! :3
En quoi je vis dangereusement ?
SupprimerMa vie est agitée : je la veux romanesque ! (Toi qui a aussi fait ta 3e partie là-dessus à Normale, tu dois bien voir ce que je veux dire ;) ) Je n'aime pas m'ennuyer.
Merci ! Tu en fais, toi, du sport ?
En fait ils m'ont dit que le diplôme, il fallait aller le chercher dans un des bâtiments de la fac en octobre (bah oui, c'est logique, après tout 5 mois -mon dernier partiel était le 18 mai- pour imprimer une feuille avec mon nom dessus c'est pas si long...). C'est vrai que tout n'est pas toujours passionnant au plus haut point en cours, mais desfois ça vient avec le temps. On verra bien :)
RépondreSupprimerL'adresse de mon blog est sur mon compte blogger, sinon, mais je repose ici: apresmoiledeluge.canalblog.com (j'écoutais Alex Beaupain en le créant, du coup j'ai une adresse à rallonge, c'est malin).
C'est marrant, je te visualise bien en danseuse mais moins en Rambo xD Tu nous en diras des nouvelles!
J'imagine que tu auras des choses à écrire au fur et à mesure de tes recherches, justement, mais bon, c'est une idée comme ça, après t'en fais ce que tu veux ^^
Et félicitations pour le boulot! C'est cool après toutes ces galères :) J'ai trouvé une asso où ils prennent des bénévoles toute l'année pour faire des cours de FLE, alors je pense aller les voir bientôt. Et j'ai appris qu'une des biblios de département de ma fac (celle du département de l'enseignement du Français à l'international) cherche des moniteurs, faut que j'aille voir aujourd'hui si je suis compatible avec leurs attentes et si oui, je postule tout de suite!
Dis donc, Nathalie Piégay-Gros, la claaasse ^^ Je l'ai jamais lue directement mais on me l'a citée plein de fois.
En tout cas j'espère que ça sera de mieux en mieux...
A bientôt =)
Han... L'administration c'est vraiment pas ça, hein... J'espère que ça va bien se terminer, cette croisade ! Les cours de ce matin (jeudi) étaient plutôt cool (je relaterai ça bientôt), ça redonne espoir je trouve.
SupprimerJe viens d'ajouter ton blog aux liens, c'est trop mimi que tu m'aies mise dans la catégorie "prof" ^^
Je commence la danse dans 3h, et pour la muscu, en fait je vois plus ça comme du renforcement, probablement sur machines (j'ai le dos fragile, ça me tente bien de le travailler), donc le coup de Rambo, c'était plus une boutade ^^.
C'est chouette pour ton asso ! J'espère que ça marchera, ainsi que le job de moniteur ! Tiens-moi au jus !
C'est marrant, je pensais que c'était une expression du Nord, "tiens-moi au jus", je suis contente de voir que ça existe ailleurs :)
SupprimerEn tout cas j'espère que la danse et la muscu étaient bien (puisqu'on est jeudi soir), et effectivement, ça peut être bon pour ton dos avec un peu de chance!
Merci pour les espoirs, ça fait plaisir ^^ J'espère que ton soutien se passera bien (et à 20€ l'heure, c'est motivant aussi pour les gens qui paient).
Merci aussi pour le lien! Je vais essayer de me tenir à un rythme d'écriture mais là ça craint un peu...
La danse c'était génial, la muscu c'est demain... A suivre !
SupprimerPour le soutien, je suis dans une agence, donc j'attends encore les coups de fil de la coordinatrice pour me donner du boulot ! J'avoue que je me sens encore un peu au chômage, du coup ! L'idéal pour moi, ce serait environ 5h par semaine. Là je serais bien.
Bon courage à toi !
Ton cours sur la figure de la bêtise sera sûrement très intéressant, comme celui sur l'objet j'imagine. En tout cas ce qui fait le plus de bien je crois c'est de retrouver des activités sportives (ou pas) régulières! Moi aussi j'ai commencé la danse rock, c'est assez énorme :)
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