Voilà, je me suis mise à faire des rangements pour le nouvel appart, ce qui provoque chez moi une foule de sentiments et de souvenirs. Chaque objet que je touche me rappelle que cette chambre, je l'ai occupée parce que j'entrais en prépa. Du coup, chaque bouquin, chaque bibelot, chaque tableau me rappelle cet été, il y a trois ans, où je courais à Ikéa tous les trois jours, et où je faisais de mon mieux pour m'approprier l'espace.
Cette chambre, elle a été toute neuve et propre, presque vide quand je m'y suis installée. Et puis, très vite, elle a été encombrée de cours partout et de bouquins qui trainent. Elle a vécu mes concours blancs. Elle m'a vue malade, épuisée, en pleines crises de larmes et de surmenage. Je crois bien que dans ma tête, elle restera l'incarnation de ma prépa, plus que n'importe quoi d'autre (à part peut être mon lycée, bien sûr).
Ca fait quelques semaines que j'ai du mal à y dormir correctement, et j'étais heureuse de la quitter pour un endroit totalement différent. Mais à y faire du tri comme ça, je me prends de nostalgie et d'affection pour cette pièce qu'on m'a léguée. Bientôt, mon frère en prendra possession, et il faudra que je m'approprie le nouvel appart. Un autre défi, intrigant et affolant.
Maintenant, je trie mes fringues, histoire d'être légère au maximum (et d'avoir l'excuse pour m'en racheter, hihihi). D'un coup, je me sens coincée entre passé et futur : d'un côté tous ces vêtements que j'ai porté, le souvenir des occasions... Et de l'autre, imaginer ma soeur qui les portera aussi.
Bon voilà, ça fait deux jours que j'ai écrit cet article. Le déménagement à eu lieu, et je suis en plein contrecoup. L'appart' comme ma chambre sont devenus des entre-deux qui me filent le vague-à-l'ame. La chambre chez mes grands-parents est presque vide, et j'ai le sentiment d'y perdre quelque chose. L'appartement n'est pas encore à moi, les murs sont blancs, et vides, eux aussi. Je pense que ce petit coup de blues est normal : tout ça indique la fin d'une ère, ce n'est pas rien. Et puis les problèmes de sous persistent, et restent un ennui majeur qui me plombe, meme si j'essaye de positiver.
Sinon, bonne rentrée à tous ceux et celles qui sont concernées !
Maintenant, je trie mes fringues, histoire d'être légère au maximum (et d'avoir l'excuse pour m'en racheter, hihihi). D'un coup, je me sens coincée entre passé et futur : d'un côté tous ces vêtements que j'ai porté, le souvenir des occasions... Et de l'autre, imaginer ma soeur qui les portera aussi.
Bon voilà, ça fait deux jours que j'ai écrit cet article. Le déménagement à eu lieu, et je suis en plein contrecoup. L'appart' comme ma chambre sont devenus des entre-deux qui me filent le vague-à-l'ame. La chambre chez mes grands-parents est presque vide, et j'ai le sentiment d'y perdre quelque chose. L'appartement n'est pas encore à moi, les murs sont blancs, et vides, eux aussi. Je pense que ce petit coup de blues est normal : tout ça indique la fin d'une ère, ce n'est pas rien. Et puis les problèmes de sous persistent, et restent un ennui majeur qui me plombe, meme si j'essaye de positiver.
Sinon, bonne rentrée à tous ceux et celles qui sont concernées !
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