Les semaines passent et ne se ressemblent pas.
Enfin quand ma semaine peut être résumée par deux jours de panique en attendant de me faire pourrir par ma directrice, des fiches d'ancien français, un four à gaz qui s'en prend à mes cheveux, des heures d'attente angoissée, un orgelet et une insomnie, franchement je préfère qu'elles ne se ressemblent pas.
Je tiens le bon bout : j'imprime d'ici une semaine et demie grand max, je soutiens fin mai, et j'aurai fini mes partiels dans 72h. En attendant, je me remets, et plus que tout, je m'y remets.
La suite un jour meilleur.
(À suivre : Proust, imprimer son mémoire, la soutenance, mon sujet de M2, le bilan de l'année, déménagement, lectures et départ à Tours).
Tout simplement : courage. Bon courage pour les jours / semaines qui arrivent.
RépondreSupprimerEt j'ai hâte de lire ton article sur Proust !
Ca fait plaisir ! J'ai fini Proust la nuit dernière, mais c'est vrai que j'ai beaucoup de mal à écrire mon article dessus... Je ne trouve pas comment l'aborder.
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